AALG

TÉMOIGNAGES

CAROLINE L.

Tout a commencé quand j’avais 15 ans, à cette époque, je me procurais simplement des médicaments de tramadol 200 mg avec l’accord de mon médecin.

Jusqu’à mes 18 ans, je n’avais rien consommé d’autre.

À l’âge de 18 ans, je suis entrée dans le monde de la nuit, des afters louches, etc. Les premières substances que j’ai expérimentées étaient des ecstasys, au début, c’était simplement pour m’amuser.

Ensuite, j’ai découvert toutes les autres drogues telles que la speed, le MDMA, la coke, le LSD, et ce qui n’était qu’un plaisir de week-end est devenu quelque chose dont mon corps ne pouvait plus se passer.

Je me lève le matin, je pense aux produits, et je vois des produits.

Cependant, la pire dépendance est arrivée vers mes 20 ans, quand un ami vendeur m’a fait goûter une nouvelle drogue qu’il m’a offerte : de la kétamine.

Au début, tout était beau. Tout semblait rose. Tous nos problèmes semblaient disparaître… Puis sont venues les descentes.

Chaque matin était consacré à gagner de l’argent pour avoir ma dose du jour, pour éviter de ressentir le manque ou autre…

Recourir aux pires moyens pour obtenir de l’argent, commencer à mentir aux gens ou à soi-même.

Ne voir plus rien d’autre, ne plus avoir d’intérêt que pour ça…

Tout consommateur trouvera toujours un moyen de consommer de toute manière.

À chaque douleur, je me dis qu’il n’y aurait que ça qui pourrait soulager toutes les douleurs physiques et psychologiques que j’ai probablement causées par elle.

Mais bon, c’est comme soigner le mal par le mal.

Alors, je cours vers cette drogue à toute heure.

Maintenant, j’ai 25 ans, et pour moi, ma vie a vraiment commencé à partir en vrille à l’âge de 20 ans. Mais maintenant, j’ai pris la décision de m’en séparer définitivement, trop de soucis financiers, amicaux, familiaux à cause d’elle.

Je me lance donc dans une cure avec l’espoir et la foi de ne plus jamais toucher à quoi que ce soit.

Finis les galères, retour à une vie bien plus belle.

EMMA

Rencontré au coin fumeur d’un camp de la communauté des Béatitudes à Nouan-le-Fuzelier, Laurent Gay me parut être un type accessible et très humain, à tel point, que je lui confiai assez rapidement dans la conversation un trouble du comportement d’ordre addictif que j’avais depuis plusieurs années et qui me pourrissait la vie.

Comme il allait justement animer une conférence sur l’emprise de l’addiction, il m’invita à y assister. Chose que je ne fit pas, à regret, à cause de cette addiction qui m’appelait à elle.

Quelle ironie…

Quand j’ai retrouvé le groupe, la conférence venait de se terminer. Laurent m’aperçut et comprit que je n’y avais pas assisté. J’étais honteuse de ne pas l’avoir écoutée, d’avoir rechuté, encore.

Sa seule réponse fut de me prendre dans ses bras et cela m’a restaurée quelque part. Je me suis sentie accueillie et la compassion toute fraternelle qu’il me témoignait m’a émue. Il ne minimisait pas la peine et la désolation que j’éprouvais à ce moment-là, tout en gardant un visage plein d’espérance.

Près d’un an et demi, plus tard, alors que cette addiction continuait de miner ma vie jour après jour, et que j’eu peur de perdre définitivement espoir, je me suis souvenue de ce moment et ai cherché comment contacter Laurent.

J’ai trouvé sans difficulté et à ma grande surprise, il m’a répondu dans la minute ! Là encore, je me suis sentie considérée et accueillie telle que j’étais.

J’ai été touchée par les messages magnifiques que j’ai reçus, dans lesquels il cherchait à comprendre et prenait le temps de relever quelques points importants pour m’orienter vers la guérison. Même si je n’étais pas encore en mesure d’investir pleinement ses invitations à me relever par le combat, le simple fait qu’il manifeste une telle considération pour ce qui ruinait ma vie, alors même que nous ne nous connaissions si peu, m’a aidée à garder espoir et confiance en ce que la vie a de beau et de bon.

La rencontre avec Laurent Gay est l’un de ces nombreux coups de pouce du Ciel qui m’ont permis de trouver la lumière et la joie alors que j’étais au cœur de l’addiction, jusqu’à m’en défaire enfin et retrouver pas à pas ma liberté d’enfant de Dieu.

JULIEN

Ma rencontre avec Laurent Gay fut une bénédiction. Longtemps, dans divers produits et addiction, me pensant seul, aujourd’hui, je me reconstruis grâce à son témoignage.

Ma rencontre avec Laurent m´a tout de suite marqué.

Un témoignage vrai, fort puissant et entier. Grâce aux différents livres, j’ai pris conscience qu’il était possible de renaître une seconde fois et de découvrir la vraie vie.

Maintenant devenu amis Laurent m’aide pour trouver la motivation, la volonté de sortir de toutes les drogues, de la rue et de me battre contre mon alcoolisme.

Merci d’exister, merci de prêcher la parole de Dieu dans tous les collèges et lycées de France.

CINDY

Voilà, je m’appelle Cindy. Laurent m’a sauvé la vie, je consommais de l’héroïne. J’ai vu le reportage de Laurent sur YouTube. Je l’ai contacté ensuite, on s’est parlé par message. (il m’a donné son numéro privé.)

Grâce à son soutien, j’ai arrêté l’héroïne, grâce à lui seul sans cachet grâce à l’aide de Dieu et de Laurent.

Même maintenant (car j’ai encore des moments où je ne suis pas top) il ne m’a jamais lâché.

Je lui dois la vie, c’est comme un grand frère et mon ange gardien. Merci Laurent.

Tes projets, pour aider les jeunes sont magnifiques.

GEORGES

J’ai commencé avec “la résurrection d’un toxico”, livre qui m’a énormément touché.
En effet, je me suis reconnu, moi-même ex toxico (cannabis, cocaïne, kétamine, etc.) sans avoir été jusqu’à la piqûre. J’étais également alcoolique (10 bière extra-forte par jour).
Laurent m’a touché de par sa sincérité, on ne le dit pas assez, mais à travers tout ça, on reste humain.

Actuellement, je consomme de temps en temps, j’avoue avoir consommé ce soir, mais je suis parvenu à me dire “Je met le reste de côté et je n’y touche pas”. Je parviens, grâce à Dieu, à me maîtriser, chose qui était totalement infaisable avant.

J’étais un ex anarchiste athée. J’avoue ne pas être Saint, mais je ne mets plus ma vie en danger.

Gros merci à Laurent pour avoir répondu à l’appel, la jeunesse a besoin de personnes comme toi !

CLÉMENCE

Laurent, c’est d’abord un ami très cher à mon cœur, un ami qui a été présent à des étapes clé de ma vie.

Il a su me faire grandir, mûrir et réfléchir. Il a été un pilier.
Dans les moments les plus sombres, il a su être une lumière.
Laurent, c’est celui qui a toujours un mot pour te faire sourire, te faire remonter la pente.

Combien de fois, il a été là , à m’écouter pleurer au téléphone, à être patient.

Sa disponibilité est sa plus grande qualité. S’il sait que tu traverses un moment compliqué, il sera toujours là pour trouver du temps pour t’appeler, te réconforter.

Je me rappelle du temps qu’il a passé avec moi au téléphone quand je lui ai annoncé que mon fiancé avait rompu nos fiançailles.
Une douleur et souffrance inexplicable.
Je l’ai appelé le cœur lourd et profondément blessé, j’ai raccroché le cœur triste, mais apaisé, je repartais armée avec l’espérance qu’il m’avait donné.

Fidèle ami dans la vie, je sais qu’il me porte et prie pour moi quotidiennement.
Merci mon Laurent pour ta disponibilité à tout moment de la journée. Du temps pour te libérer, tu as toujours su trouver pour consoler, conseiller, aimer et valoriser sans juger.

Son témoignage est un cadeau qui nous montre à tous que chaque vie mérite d’être vécue, avec ses joies et ses peines.
Et que Jésus sera toujours là pour te guider sur le chemin qu’il t’a préparé.

MALO

Ton aide m’a été très précieuse, car grâce à tes paroles, j’ai pu comprendre que j’avais un rôle à jouer sur cette planète et que ma vie est précieuse. J’ai pris conscience que sur terre, il y a plein de personnes qui veulent mon bien et que toutes ne sont pas méchantes. Aujourd’hui, j’avance petit à petit en essayant de sortir de certaines addictions du aux médicaments qu’on a pu me donner. Merci d’être qui tu es. Que Dieu te bénisse!

MAYA

Laurent, je l´ai rencontré un jour, au détour d´une conférence qu´un couple d´amis avait organisée. 

J´avais 17 ans et j´étais toute jeune chrétienne, déjà au passé douloureux. La Grâce de Dieu m´a relevée, guérie, transfigurée, passant par tous les canaux qu´Elle trouvait…

Ce jour-là, Elle est passé par Laurent.

Comme un ami, alors que nous nous rencontrions tout juste, il a su poser les mots sur les maux. Et faire des sourires et des éclats de rire.

Un soutien dans l´épreuve.

Un espoir dans la nuit.

Un sourire dans les larmes.

Un ami.

CAMILLE

Bonjour, moi, je m’appelle Camille. J’ai subi des attouchements sexuels en 2018 dans un bus scolaire, j’avais 14 ans.
Je n’y portais aucune importance au début…
Quand j’ai rencontré Laurent, ça a été un ange sur ma route, mon sauveur, son témoignage m’a fait ouvrir les yeux et m’a poussé à me battre et à me sortir de cet enfer. 

On a gardé contact et aujourd’hui je suis heureuse et je suis ressorti plus forte que jamais. Laurent, tu as été mon espérance, j’attendais quelqu’un comme toi dans ma vie et quand tu as commencé à parler, j’ai ressenti directement une sensation de confiance et d’encouragement. Tu m’as touché en plein cœur, je t’en remercierais jamais assez. C’est un père pour moi.
Grâce à Laurent, j’ai été suivi ensuite par des psychologues et j’ai intégré la section phycho au CHU de Vannes là où j’ai mis pour la dernière fois les pieds là-bas en septembre 2021. 

Aujourd’hui, j’ai 18 ans, je me suis fait tatouer un point-virgule en dessous de mon poignet au niveau des veines, car derrière le tatouage point virgule se trouve en fait une organisation américaine, le Project Semicolon qui accompagne les personnes souffrant de dépression et qui aide à la prévention du suicide, particulièrement chez les jeunes. Un tatouage qui permet donc d’encourager les personnes en souffrance, mais également d’ouvrir un dialogue souvent difficile, et de permettre un partage de trajectoires et d’histoires pour se sentir moins seul.
La fin de l’histoire, c’est que je n’ai jamais déposé plainte contre ce garçon, je n’ai jamais eu ce courage, mais Laurent m’aurait dit « il n’est jamais trop tard pour agir ».
Pour revenir à Laurent, j’ai acheté tous ses livres et il faut savoir que je les connais par cœur, pour les personnes en souffrance comme moi, je l’ai été, ça a été une accroche aussi pour moi.
Merci Laurent.
Je prie pour toi.

MANON

Les gens parlent souvent de la mutilation comme quelque chose de honteux, certains s’en servent même par manque d’attention et se faire voir par les autres, c’est un autre problème.

Maintenant, j’aimerais parler de ceux qui restent en silence et qui gardent le sourire et un comportement totalement neutre, ceux qui ont les yeux gonflés et le visage pâli par l’insomnie qu’ils ont passé, mais que quand on leur demande si ça va ils nous répondent simplement « oui je suis juste fatiguée » mais la discussion ne va jamais plus loin.

Beaucoup commencent la mutilation au collège, car c’est ici qu’on commence à connaître ce genre de choses et l’entré au collège est une certaine entrée en enfer où tu dois accepter la méchanceté du monde réel.

Alors certains choisissent toutes les sortes d’échappatoires, la drogue, l’alcool, la violence.

Moi, j’ai choisi la mutilation. Beaucoup, au lieu d’essayer de comprendre vont te dire « la honte, tu cherches juste de l’attention » ou même « tu sais très bien que tu ne peux pas en mourir t’as vue là où tu l’as fait ».

La mutilation, c’est être mort de l’intérieur, tellement mort que tu veux t’infliger une douleur physique pour savoir si tu ressens ne serait-ce qu’un sentiment.

Il peut être expliqué autrement aussi, quand la charge mentale est trop importante, alors tu essayes de l’oublier par la douleur physique, puis tu commences un trait, c’est douloureux, mais tu as pensé à autres choses que tes problèmes pendant cet instant, donc tu approches du deuxième, puis tu te dis « un troisième et c’est terminé » puis ça en devient addictif.

Je dirais que personne ne peut te juger sans avoir été victime de ça, le jugement dans notre monde et facile, mais trop peu de personnes essayent de comprendre et d’aider la personne.

Il y a plusieurs sortent de scarifications, brûlure, s’arracher les cheveux, se couper, se taper…

Tous ceux qui se sont mutilés connaissent la douleur de dormir sur la mutilation, en fait la plupart des gens qui le savent nous demandes « mais ce n’est pas trop dur de devoir se faire du mal » déjà oui, mais ceux qui se scarifient sont en fait très courageux, car au lieu de parler de ceux qu’ils ressentent, au lieu de blesser les gens avec leurs histoires, ils la gardent.

Mais pour répondre à la question la plus dure n’est pas de se mutiler, mais de dormir dessus, avant de dormir, tu cogites, tu as mal, tu as l’envie de le refaire.

Puis c’est rouge, ça devient violet puis ça finit blanc et ça finit surtout en excuse bidon à tes proches s’ils l’aperçoivent.

Quoi qu’il en soit sachez que vous n’êtes pas seule et que si besoin, je veux bien en parler avec vous et je pense que Laurent serait même très attentif à vous aussi si besoin.

TÉMOIGNAGE ANONYME

Salut Laurent, je voulais juste t’envoyer ce message pour te remercier d’avoir pris le temps de m’aider, conseiller et d’avoir pris le temps de me répondre. 

 

Merci aussi de m’avoir aidé à prendre conscience de ce que je faisais grâce à ça, j’ai réussi à mettre en place des habitudes qui m’aident à me sentir mieux et à prendre plus soin de moi comme limité mon temps sur mon téléphone et notamment les réseaux sociaux. 

 

Le fait d’être moins sur mon téléphone fait que je dors mieux et plus tôt, et surtout que j’ai plus de temps pour moi, etc. En gros, ça me permet de faire plus de choses et c’est juste bénéfique mentalement et physiquement. Je voulais aussi te dire que depuis ta conférence à ** j’ai vraiment pris conscience de ce que je faisais et cette conférence a eu un énorme effet type électrochoc sur moi, j’ai recommencé à prier, croire en Dieu et plein d’autres choses donc merci.

 

Merci pour cette conférence qui a changé ma vie, merci d’avoir changé ma vie et m’empêcher de faire une erreur qui n’aurait pas pu être réversible. Aujourd’hui, grâce à ce que tu as dit pendant la conférence et par message, je suis de nouveau prête à profiter de la vie, à aller de l’avant et continuer de croire en mes rêves et de croire dans le travail que je fournis pour qu’ils se réalisent. 

 

Merci d’avoir fait de moi une personne nouvelle et qui est encore mieux que la personne que j’étais avant. 

 

Merci de m’avoir redonné goût à la vie et de m’avoir donné envie de continuer et de m’accrocher malgré les difficultés.

TÉMOIGNAGE ANONYME

J’ai rencontré Laurent lors d’une conférence organisée par la pastorale dans mon école. Il nous a raconté sa vie en détail, mais pas que de cela.

 

Pour ma part, il m’a profondément touché, non seulement par histoire, mais par ses mots et par sa bienveillance. J’ai traversé de dures périodes et grâce à ses mots, à son histoire, j’ai repris espoir. Il m’a donné l’envie et la motivation.


L’envie de vivre et la motivation de me relever. J’ai eu la chance de le revoir après cette conférence et ce fut un plaisir immense de discuter avec lui. C’est un homme plein de bienveillance, d’espoir pour la jeunesse, de compassion pour les autres, il sait trouver les mots qu’il faut et est toujours volontaire pour aider les autres.


J’ai acheté ses deux livres, ce sont des chefs-d’œuvre qui méritent d’être lus et relus. Ses livres ont beaucoup participé à ma volonté de me reprendre en main (j’ai d’ailleurs eu une spéciale dédicace !).


Pour terminer, j’aimerais reprendre un passage du livre de Laurent « Troubadour d’espérance » pour les jeunes qui ne pensent pas s’en sortir un jour : « même si nous tombons 99 fois et crions vers Dieu pour qu’il nous relève, à la centième, nous triompherons, car nous avons été persévérants, alors nous aurons remporté la victoire. »

 

TÉMOIGNAGE ANONYME

Je voulais vous redire que j’ai beaucoup aimé votre discours et surtout votre joie de vivre.

 

Je voulais simplement vous raconter plus en détail ce que j’ai apprécié et de vous dire que je comprends totalement cette envie de montrer aux jeunes qu’il ne faut pas abandonner, j’essaie également de donner envie aux gens.

 

J’ai eu ces dernières années des moments difficiles puisque j’ai eu à mes 14 ans en 2018, un cancer et j’ai rechuté de ce cancer en 2021. Pour vous dire que j’ai affronté la mort et c’est vrai que j’ai du mal à comprendre les gens qui voudraient se suicider ou se faire du mal. Pourtant, j’aimerais pouvoir les comprendre. Les gens me demandent souvent comment je fais pour être tout le temps heureuse même avec un cancer et pourtant, la raison est simple, on a qu’une seule vie, ça sert à rien de se morfondre, ça n’avancera pas la guérison de la maladie. Je pense sérieusement que la positivité a joué un rôle important dans la rémission de mon cancer. J’ai pu aider des jeunes qui ne voulaient pas passer à autre chose que leur annonce de leur cancer. Mais sachez que j’ai eu la preuve devant mes yeux, avec une petite fille qui était condamnée malheureusement et pourtant elle a vécu beaucoup plus longtemps qu’elle aurait dû, car elle avait cette volonté de vivre et d’un miracle.

 

Pour en revenir à mes propos, je voulais juste dire que je trouve ça incroyable qu’il m’a fallu affronter la mort pour me rendre compte que la vie est importante. Et j’aimerais tellement que tout le monde ait les mêmes pensées que moi.

 

En-tout-cas, ça ne vous intéresse peut-être pas ce témoignage, mais je voulais le partager avec vous.

TÉMOIGNAGES

CAROLINE L.

Tout a commencé quand j’avais 15 ans, à cette époque, je me procurais simplement des médicaments de tramadol 200 mg avec l’accord de mon médecin.

Jusqu’à mes 18 ans, je n’avais rien consommé d’autre.

À l’âge de 18 ans, je suis entrée dans le monde de la nuit, des afters louches, etc. Les premières substances que j’ai expérimentées étaient des ecstasys, au début, c’était simplement pour m’amuser.

Ensuite, j’ai découvert toutes les autres drogues telles que la speed, le MDMA, la coke, le LSD, et ce qui n’était qu’un plaisir de week-end est devenu quelque chose dont mon corps ne pouvait plus se passer.

Je me lève le matin, je pense aux produits, et je vois des produits.

Cependant, la pire dépendance est arrivée vers mes 20 ans, quand un ami vendeur m’a fait goûter une nouvelle drogue qu’il m’a offerte : de la kétamine.

Au début, tout était beau. Tout semblait rose. Tous nos problèmes semblaient disparaître… Puis sont venues les descentes.

Chaque matin était consacré à gagner de l’argent pour avoir ma dose du jour, pour éviter de ressentir le manque ou autre…

Recourir aux pires moyens pour obtenir de l’argent, commencer à mentir aux gens ou à soi-même.

Ne voir plus rien d’autre, ne plus avoir d’intérêt que pour ça…

Tout consommateur trouvera toujours un moyen de consommer de toute manière.

À chaque douleur, je me dis qu’il n’y aurait que ça qui pourrait soulager toutes les douleurs physiques et psychologiques que j’ai probablement causées par elle.

Mais bon, c’est comme soigner le mal par le mal.

Alors, je cours vers cette drogue à toute heure.

Maintenant, j’ai 25 ans, et pour moi, ma vie a vraiment commencé à partir en vrille à l’âge de 20 ans. Mais maintenant, j’ai pris la décision de m’en séparer définitivement, trop de soucis financiers, amicaux, familiaux à cause d’elle.

Je me lance donc dans une cure avec l’espoir et la foi de ne plus jamais toucher à quoi que ce soit.

Finis les galères, retour à une vie bien plus belle.

EMMA

Rencontré au coin fumeur d’un camp de la communauté des Béatitudes à Nouan-le-Fuzelier, Laurent Gay me parut être un type accessible et très humain, à tel point, que je lui confiai assez rapidement dans la conversation un trouble du comportement d’ordre addictif que j’avais depuis plusieurs années et qui me pourrissait la vie.

Comme il allait justement animer une conférence sur l’emprise de l’addiction, il m’invita à y assister. Chose que je ne fit pas, à regret, à cause de cette addiction qui m’appelait à elle.

Quelle ironie…

Quand j’ai retrouvé le groupe, la conférence venait de se terminer. Laurent m’aperçut et comprit que je n’y avais pas assisté. J’étais honteuse de ne pas l’avoir écoutée, d’avoir rechuté, encore.

Sa seule réponse fut de me prendre dans ses bras et cela m’a restaurée quelque part. Je me suis sentie accueillie et la compassion toute fraternelle qu’il me témoignait m’a émue. Il ne minimisait pas la peine et la désolation que j’éprouvais à ce moment-là, tout en gardant un visage plein d’espérance.

Près d’un an et demi, plus tard, alors que cette addiction continuait de miner ma vie jour après jour, et que j’eu peur de perdre définitivement espoir, je me suis souvenue de ce moment et ai cherché comment contacter Laurent.

J’ai trouvé sans difficulté et à ma grande surprise, il m’a répondu dans la minute ! Là encore, je me suis sentie considérée et accueillie telle que j’étais.

J’ai été touchée par les messages magnifiques que j’ai reçus, dans lesquels il cherchait à comprendre et prenait le temps de relever quelques points importants pour m’orienter vers la guérison. Même si je n’étais pas encore en mesure d’investir pleinement ses invitations à me relever par le combat, le simple fait qu’il manifeste une telle considération pour ce qui ruinait ma vie, alors même que nous ne nous connaissions si peu, m’a aidée à garder espoir et confiance en ce que la vie a de beau et de bon.

La rencontre avec Laurent Gay est l’un de ces nombreux coups de pouce du Ciel qui m’ont permis de trouver la lumière et la joie alors que j’étais au cœur de l’addiction, jusqu’à m’en défaire enfin et retrouver pas à pas ma liberté d’enfant de Dieu.

JULIEN

Ma rencontre avec Laurent Gay fut une bénédiction. Longtemps, dans divers produits et addiction, me pensant seul, aujourd’hui, je me reconstruis grâce à son témoignage.

Ma rencontre avec Laurent m´a tout de suite marqué.

Un témoignage vrai, fort puissant et entier. Grâce aux différents livres, j’ai pris conscience qu’il était possible de renaître une seconde fois et de découvrir la vraie vie.

Maintenant devenu amis Laurent m’aide pour trouver la motivation, la volonté de sortir de toutes les drogues, de la rue et de me battre contre mon alcoolisme.

Merci d’exister, merci de prêcher la parole de Dieu dans tous les collèges et lycées de France.

CINDY

“Voilà, je m’appelle Cindy. Laurent m’a sauvé la vie, je consommais de l’héroïne. J’ai vu le reportage de Laurent sur YouTube. Je l’ai contacté ensuite, on s’est parlé par message. (il m’a donné son numéro privé.)

Grâce à son soutien, j’ai arrêté l’héroïne, grâce à lui seul sans cachet grâce à l’aide de Dieu et de Laurent.

Même maintenant (car j’ai encore des moments où je ne suis pas top) il ne m’a jamais lâché.

Je lui dois la vie, c’est comme un grand frère et mon ange gardien. Merci Laurent.

Tes projets, pour aider les jeunes sont magnifiques.”

GEORGES

J’ai commencé avec “la résurrection d’un toxico”, livre qui m’a énormément touché.
En effet, je me suis reconnu, moi-même ex toxico (cannabis, cocaïne, kétamine, etc.) sans avoir été jusqu’à la piqûre. J’étais également alcoolique (10 bière extra-forte par jour).
Laurent m’a touché de par sa sincérité, on ne le dit pas assez, mais à travers tout ça, on reste humain.

Actuellement, je consomme de temps en temps, j’avoue avoir consommé ce soir, mais je suis parvenu à me dire “Je met le reste de côté et je n’y touche pas”. Je parviens, grâce à Dieu, à me maîtriser, chose qui était totalement infaisable avant.

J’étais un ex anarchiste athée. J’avoue ne pas être Saint, mais je ne mets plus ma vie en danger.

Gros merci à Laurent pour avoir répondu à l’appel, la jeunesse a besoin de personnes comme toi !

CLÉMENCE

Laurent, c’est d’abord un ami très cher à mon cœur, un ami qui a été présent à des étapes clé de ma vie.

Il a su me faire grandir, mûrir et réfléchir. Il a été un pilier.
Dans les moments les plus sombres, il a su être une lumière.
Laurent, c’est celui qui a toujours un mot pour te faire sourire, te faire remonter la pente.

Combien de fois, il a été là , à m’écouter pleurer au téléphone, à être patient.

Sa disponibilité est sa plus grande qualité. S’il sait que tu traverses un moment compliqué, il sera toujours là pour trouver du temps pour t’appeler, te réconforter.

Je me rappelle du temps qu’il a passé avec moi au téléphone quand je lui ai annoncé que mon fiancé avait rompu nos fiançailles.
Une douleur et souffrance inexplicable.
Je l’ai appelé le cœur lourd et profondément blessé, j’ai raccroché le cœur triste, mais apaisé, je repartais armée avec l’espérance qu’il m’avait donné.

Fidèle ami dans la vie, je sais qu’il me porte et prie pour moi quotidiennement.
Merci mon Laurent pour ta disponibilité à tout moment de la journée. Du temps pour te libérer, tu as toujours su trouver pour consoler, conseiller, aimer et valoriser sans juger.

Son témoignage est un cadeau qui nous montre à tous que chaque vie mérite d’être vécue, avec ses joies et ses peines.
Et que Jésus sera toujours là pour te guider sur le chemin qu’il t’a préparé.

MALO

Ton aide m’a été très précieuse, car grâce à tes paroles, j’ai pu comprendre que j’avais un rôle à jouer sur cette planète et que ma vie est précieuse. J’ai pris conscience que sur terre, il y a plein de personnes qui veulent mon bien et que toutes ne sont pas méchantes. Aujourd’hui, j’avance petit à petit en essayant de sortir de certaines addictions du aux médicaments qu’on a pu me donner. Merci d’être qui tu es. Que Dieu te bénisse !

MAYA

Laurent, je l´ai rencontré un jour, au détour d´une conférence qu´un couple d´amis avait organisée. 

J´avais 17 ans et j´étais toute jeune chrétienne, déjà au passé douloureux. La Grâce de Dieu m´a relevée, guérie, transfigurée, passant par tous les canaux qu´Elle trouvait…

Ce jour-là, Elle est passé par Laurent.

Comme un ami, alors que nous nous rencontrions tout juste, il a su poser les mots sur les maux. Et faire des sourires et des éclats de rire.

Un soutien dans l´épreuve.

Un espoir dans la nuit.

Un sourire dans les larmes.

Un ami.

      CAMILLE

Bonjour, moi, je m’appelle Camille. J’ai subi des attouchements sexuels en 2018 dans un bus scolaire, j’avais 14 ans.
Je n’y portais aucune importance au début…
Quand j’ai rencontré Laurent, ça a été un ange sur ma route, mon sauveur, son témoignage m’a fait ouvrir les yeux et m’a poussé à me battre et à me sortir de cet enfer. On a gardé contact et aujourd’hui je suis heureuse et je suis ressorti plus forte que jamais. Laurent, tu as été mon espérance, j’attendais quelqu’un comme toi dans ma vie et quand tu as commencé à parler, j’ai ressenti directement une sensation de confiance et d’encouragement. Tu m’as touché en plein cœur, je t’en remercierais jamais assez. C’est un père pour moi.
Grâce à Laurent, j’ai été suivi ensuite par des psychologues et j’ai intégré la section phycho au CHU de Vannes là où j’ai mis pour la dernière fois les pieds là-bas en septembre 2021. Aujourd’hui, j’ai 18 ans, je me suis fait tatouer un point-virgule en dessous de mon poignet au niveau des veines, car derrière le tatouage point virgule se trouve en fait une organisation américaine, le Project Semicolon qui accompagne les personnes souffrant de dépression et qui aide à la prévention du suicide, particulièrement chez les jeunes. Un tatouage qui permet donc d’encourager les personnes en souffrance, mais également d’ouvrir un dialogue souvent difficile, et de permettre un partage de trajectoires et d’histoires pour se sentir moins seul.
La fin de l’histoire, c’est que je n’ai jamais déposé plainte contre ce garçon, je n’ai jamais eu ce courage, mais Laurent m’aurait dit « il n’est jamais trop tard pour agir ».
Pour revenir à Laurent, j’ai acheté tous ses livres et il faut savoir que je les connais par cœur, pour les personnes en souffrance comme moi, je l’ai été, ça a été une accroche aussi pour moi.
Merci Laurent.
Je prie pour toi.

MANON

Les gens parlent souvent de la mutilation comme quelque chose de honteux, certains s’en servent même par manque d’attention et se faire voir par les autres, c’est un autre problème.

Maintenant, j’aimerais parler de ceux qui restent en silence et qui gardent le sourire et un comportement totalement neutre, ceux qui ont les yeux gonflés et le visage pâli par l’insomnie qu’ils ont passé, mais que quand on leur demande si ça va ils nous répondent simplement « oui je suis juste fatiguée » mais la discussion ne va jamais plus loin.

Beaucoup commencent la mutilation au collège, car c’est ici qu’on commence à connaître ce genre de choses et l’entré au collège est une certaine entrée en enfer où tu dois accepter la méchanceté du monde réel.

Alors certains choisissent toutes les sortes d’échappatoires, la drogue, l’alcool, la violence.

Moi, j’ai choisi la mutilation. Beaucoup, au lieu d’essayer de comprendre vont te dire « la honte, tu cherches juste de l’attention » ou même « tu sais très bien que tu ne peux pas en mourir t’as vue là où tu l’as fait ».

La mutilation, c’est être mort de l’intérieur, tellement mort que tu veux t’infliger une douleur physique pour savoir si tu ressens ne serait-ce qu’un sentiment.

Il peut être expliqué autrement aussi, quand la charge mentale est trop importante, alors tu essayes de l’oublier par la douleur physique, puis tu commences un trait, c’est douloureux, mais tu as pensé à autres choses que tes problèmes pendant cet instant, donc tu approches du deuxième, puis tu te dis « un troisième et c’est terminé » puis ça en devient addictif.

Je dirais que personne ne peut te juger sans avoir été victime de ça, le jugement dans notre monde et facile, mais trop peu de personnes essayent de comprendre et d’aider la personne.

Il y a plusieurs sortent de scarifications, brûlure, s’arracher les cheveux, se couper, se taper…

Tous ceux qui se sont mutilés connaissent la douleur de dormir sur la mutilation, en fait la plupart des gens qui le savent nous demandes « mais ce n’est pas trop dur de devoir se faire du mal » déjà oui, mais ceux qui se scarifient sont en fait très courageux, car au lieu de parler de ceux qu’ils ressentent, au lieu de blesser les gens avec leurs histoires, ils la gardent.

Mais pour répondre à la question la plus dure n’est pas de se mutiler, mais de dormir dessus, avant de dormir, tu cogites, tu as mal, tu as l’envie de le refaire.

Puis c’est rouge, ça devient violet puis ça finit blanc et ça finit surtout en excuse bidon à tes proches s’ils l’aperçoivent.

Quoi qu’il en soit sachez que vous n’êtes pas seule et que si besoin, je veux bien en parler avec vous et je pense que Laurent serait même très attentif à vous aussi si besoin.

TÉMOIGNAGE

ANONYME

Salut Laurent, je voulais juste t’envoyer ce message pour te remercier d’avoir pris le temps de m’aider, conseiller et d’avoir pris le temps de me répondre.

 

Merci aussi de m’avoir aidé à prendre conscience de ce que je faisais grâce à ça, j’ai réussi à mettre en place des habitudes qui m’aident à me sentir mieux et à prendre plus soin de moi comme limité mon temps sur mon téléphone et notamment les réseaux sociaux. 


Le fait d’être moins sur mon téléphone fait que je dors mieux et plus tôt, et surtout que j’ai plus de temps pour moi, etc. En gros, ça me permet de faire plus de choses et c’est juste bénéfique mentalement et physiquement. 

Je voulais aussi te dire que depuis ta conférence à ** j’ai vraiment pris conscience de ce que je faisais et cette conférence a eu un énorme effet type électrochoc sur moi, j’ai recommencé à prier, croire en Dieu et plein d’autres choses donc merci.


Merci pour cette conférence qui a changé ma vie, merci d’avoir changé ma vie et m’empêcher de faire une erreur qui n’aurait pas pu être réversible. Aujourd’hui, grâce à ce que tu as dit pendant la conférence et par message, je suis de nouveau prête à profiter de la vie, à aller de l’avant et continuer de croire en mes rêves et de croire dans le travail que je fournis pour qu’ils se réalisent.

 

Merci d’avoir fait de moi une personne nouvelle et qui est encore mieux que la personne que j’étais avant. 


Merci de m’avoir redonné goût à la vie et de m’avoir donné envie de continuer et de m’accrocher malgré les difficultés.

TÉMOIGNAGE

ANONYME

J’ai rencontré Laurent lors d’une conférence organisée par la pastorale dans mon école. Il nous a raconté sa vie en détail, mais pas que de cela.

 


Pour ma part, il m’a profondément touché, non seulement par histoire, mais par ses mots et par sa bienveillance. J’ai traversé de dures périodes et grâce à ses mots, à son histoire, j’ai repris espoir. Il m’a donné l’envie et la motivation.


L’envie de vivre et la motivation de me relever. J’ai eu la chance de le revoir après cette conférence et ce fut un plaisir immense de discuter avec lui. C’est un homme plein de bienveillance, d’espoir pour la jeunesse, de compassion pour les autres, il sait trouver les mots qu’il faut et est toujours volontaire pour aider les autres.


J’ai acheté ses deux livres, ce sont des chefs-d’œuvre qui méritent d’être lus et relus. Ses livres ont beaucoup participé à ma volonté de me reprendre en main (j’ai d’ailleurs eu une spéciale dédicace !).


Pour terminer, j’aimerais reprendre un passage du livre de Laurent « Troubadour d’espérance » pour les jeunes qui ne pensent pas s’en sortir un jour : « même si nous tombons 99 fois et crions vers Dieu pour qu’il nous relève, à la centième, nous triompherons, car nous avons été persévérants, alors nous aurons remporté la victoire. »

TÉMOIGNAGE

ANONYME

Je voulais vous redire que j’ai beaucoup aimé votre discours et surtout votre joie de vivre.

 

Je voulais simplement vous raconter plus en détail ce que j’ai apprécié et de vous dire que je comprends totalement cette envie de montrer aux jeunes qu’il ne faut pas abandonner, j’essaie également de donner envie aux gens.

 

J’ai eu ces dernières années des moments difficiles puisque j’ai eu à mes 14 ans en 2018, un cancer et j’ai rechuté de ce cancer en 2021. Pour vous dire que j’ai affronté la mort et c’est vrai que j’ai du mal à comprendre les gens qui voudraient se suicider ou se faire du mal. Pourtant, j’aimerais pouvoir les comprendre. Les gens me demandent souvent comment je fais pour être tout le temps heureuse même avec un cancer et pourtant, la raison est simple, on a qu’une seule vie, ça sert à rien de se morfondre, ça n’avancera pas la guérison de la maladie. Je pense sérieusement que la positivité a joué un rôle important dans la rémission de mon cancer. J’ai pu aider des jeunes qui ne voulaient pas passer à autre chose que leur annonce de leur cancer. Mais sachez que j’ai eu la preuve devant mes yeux, avec une petite fille qui était condamnée malheureusement et pourtant elle a vécu beaucoup plus longtemps qu’elle aurait dû, car elle avait cette volonté de vivre et d’un miracle.

 

Pour en revenir à mes propos, je voulais juste dire que je trouve ça incroyable qu’il m’a fallu affronter la mort pour me rendre compte que la vie est importante. Et j’aimerais tellement que tout le monde ait les mêmes pensées que moi.

 

En-tout-cas, ça ne vous intéresse peut-être pas ce témoignage, mais je voulais le partager avec vous.

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